Liste Alphabétique des Publications

Candido Godoi (18/05/2022) -Y aller- Fouilles du temple (23/01/2022) -Y aller- Gornaya Shoria (23/01/2023) -Y aller- Lalibela (09/11/2023) -Y aller-
Mohenjo-daro (09/11/2023) -Y aller-

 

Lalibela (Éthiopie)

- Publication du 09/11/2023 -

Au 16ème siècle, des explorateurs Portugais tombent sur un complexe unique au monde d’églises monolithiques (taillées dans un unique bloc de roche) dont l’origine paraît alors miraculeuse… A Lalibela, 400 km au nord d’Addis-Abeba, ils découvrent en effet 11 églises creusées littéralement dans la roche du sol. Le site tire son nom d’un roi éthiopien qui aurait fait de cet endroit le centre de son royaume au tout début du 13ème siècle en lui donnant une dimension religieuse très affirmée.

Le plus impressionnant des édifices, Biete Medhani Alem (littéralement "La maison du Sauveur du monde"), s'étend sur plus de trente mètres de long, vingt mètres de large et dix mètres de haut. Doté de cinq nefs et regorgeant d'ornements, elle est considérée comme la plus vaste église monolithique au monde.

Avec ses enchevêtrements d’églises, de tranchées, de galeries souterraines et d’immenses salles aménagées dans la roche, il faut reconnaître que Lalibela ne ressemble, de fait, à rien de connu… et appelle donc bien des questions... Avec ses enchevêtrements d’églises, de tranchées, de galeries souterraines et d’immenses salles aménagées dans la roche, il faut reconnaître que Lalibela ne ressemble, de fait, à rien de connu… et appelle donc bien des questions… Les archéologues situent bien la construction au 13ème siècle sous le règne du roi Lalibela qui aurait souhaité construire une « Nouvelle Jérusalem » après que les conquêtes musulmanes eurent mis un terme aux pèlerinages chrétiens en Terre Sainte. Selon toute évidence, les bâtiments ont été excavés du haut vers le bas. Contrairement aux pyramides de Gizeh, il n’y a rien ici qui semble « impossible » pour un nombre suffisamment important d’hommes très motivés mais le volume de travail a dû demander plus d’un siècle, peut-être deux !

Selon les traditions locales, le futur Roi Lalibela fut transporté par des anges jusqu’au ciel, où il contempla de singulières constructions. Dieu exigeât qu’il y ait dans la capitale de son royaume quelques temples similaires à ceux qu’il avait aperçus. Lalibela fit ainsi édifier 11 églises monolithiques, reliées entre elles par de complexes souterrains. La tradition indique qu’elles furent construites en quelques années avec l’aide « d’anges » venus assister les humains la nuit pour les principaux travaux d’excavation.

Au delà de défi technologique, il faut aussi noter que le positionnement des églises répond à un schéma précis qui concorde, tant sur le plan topographique qu’hydrographique, au site de Jérusalem. Les noms des églises, des montagnes et des différents lieux notables rappellent systématiquement les lieux saints d’Israël. Ainsi le cours d’eau rappelle le Jourdain, des églises portent des noms tels que Golgotha, Marie… Tout est fait pour rappeler Jérusalem, ce qui a valu à Lalibela des appellations telles que « la Jérusalem noire » ou « la Nouvelle Jérusalem ».

Selon le Kebra Nagast, l'ancien livre sacré des chrétiens éthiopiens, l'arche hébraïque de l'alliance qui contenait les dix commandements a été transportée en Éthiopie depuis Jérusalem par l'enfant de Salomon et de la reine de Saba qui s'appelait Ménélik Ier et qui aurait été le premier roi d'Éthiopie. Il est intéressant de noter qu’une des églises possède un autel qui a les dimensions exactes de l’Arche d’Alliance données dans l’ancien testament. L’Église d’Éthiopie prétend par ailleurs que l’Arche a bien été un temps à Lalibela mais qu’elle est maintenant 300 km au Nord dans la ville d’Axoum.

Il existe de fait à Axoum une certaine Cathédrale de la Sainte Marie de Sion où se dresse un temple sensé conserver l’arche. Seul le moine gardien peut voir l'arche, en conformité avec les récits bibliques affirmant que le spectacle de l'Arche, qui serait insupportablement radieuse, tue le commun des mortels. Le gardien de l'arche est nommé à vie par son prédécesseur avant la mort de celui-ci. Si le gardien titulaire meurt sans nommer un successeur, alors les moines du monastère élisent un nouveau gardien. Le gardien est alors confiné à la chapelle de l'Arche d'alliance pour le reste de sa vie, sans possibilité d'en sortir, pour y prier et brûler de l'encens. L'actuel gardien de la chapelle se nomme Abba Tesfa Mariam, il est le trentième d'une longue lignée de gardiens et lui seul peut nommer le prochain gardien.

L’arche pourrait-elle vraiment être à Axoum ? C’est peu probable de mon point de vue pour deux raisons. La première c’est que le pays a été occupé plusieurs années par les italiens pendant la seconde guerre mondiale et quand on connaît l’intérêt de certains dignitaires nazis pour l’occulte, la Cathédrale de la Sainte Marie de Sion a bien entendu été un des premiers lieux pillés. Mais on ne peut exclure une mise en sécurité de l’objet au moment où la guerre a semblé inévitable…

La seconde raison, c’est que l’Éthiopie semble difficilement pouvoir contrer une équipe de mercenaires motivés financés par un milliardaire amateur de reliques. Il serait donc étrange que personne ne se soit de fait introduit illégalement dans le temple gardé par UN malheureux prêtre...

Mohenjo-daro (Inde)

- Publication du 14/04/2023 -

Le site de Mohenjo-daro est découvert dans les années 1920. Mohenjo-daro signifie littéralement le mont des Morts mais personne ne savait pourquoi avant la découverte de la cité. Des fouilles successives permettent de découvrir une ville énorme, s'étendant sur plus de 200 hectares. Avec Mohenjo-daro c'était la première fois que l'on révélait au grand jour la civilisation de la vallée de l'Indus, dont on ignorait jusqu'alors l'existence. Mohenjo-Daro comme les autres cités découvertes ensuite révèle une urbanisation réfléchie et planifiée. Le tracé des rues forme une grille, dont au moins un boulevard, large de 10 mètres, partageait la ville basse en deux. Il y avait aussi un système d’égout très sophistiqué.

On a retrouvé des squelettes indiquant qu’ils sont morts sur le coup, certains présentant selon des scientifiques soviétiques des taux de radiation très supérieurs à la normale. Cette histoire de radiation sur les squelettes n'a pu être prouvé pr la suite et est donc suspecte. Une chose est sure par contre, on a retrouvés des poteries fondues et des murs vitrifiés comme sous l’effet d’une intense chaleur.

Difficile ceci dit de ne pas rapprocher les restes de Mohenjo-daro et un texte indien ancien, le Mahabharata, qui dit entre autre : « Un projectile, chargé de toute l’énergie de l’univers… une colonne incandescente de fumée et de flammes aussi vives que 10.000 soleils, roses et de toute splendeur… une arme inconnue, un éclair d’acier, un gigantesque messager de la mort venu réduire à un amas de cendres une race toute entière. Les corps ont été brûlés au point d’être méconnaissables. Leurs cheveux étaient tombés, les poteries s’étaient brisées sans raison apparente, et les oiseaux étaient devenus blancs. Après quelques heures, toutes les sources alimentaires étaient infectées. Pour échapper au feu, les soldats s’étaient jetés dans la rivière. Les survivants ont commencé à avoir des cloques, à perdre leurs cheveux et leurs ongles. »

Il y a certaines régions en Indes où l'on enregistre un nombre anormalement élevé de malformations à la naissance et de cancers. Effet de la pollution très présente dans ce pays ? Possible... Mais des études récentes à quinze kilomètres à l’ouest de Jodhpur où devait être créé une ville nouvelle ont conduit à la découverte d'un taux de radiation anormal. Une couche de cendre radioactive semble s'étendre sur une surface estimlée à 5 kilomètres carrés. Les fouilles entreprises localement ont permis de découvrir une antique cité (enfin les ruines d'une antique cité) qui rapellent fortement Harappa ou Mohenjo-daro puisque là aussi on a trouvé des squelettes jonchant les rues, certains se tenant la main et étendus comme si la mort avait frappé tout le monde en même temps. Les gens étaient couchés, sans aucune tombe, dans les rues. Ils sont vieux de plusieurs milliers d’années. Qu’est-ce qui aurait bien pu causer une telle chose ? Pourquoi les corps ne se sont-ils pas décomposés ou n’ont-ils pas été mangés par des animaux sauvages ? Aucune réponse satisfaisante n'est donnée à ce jour.

Les jumeaux de Candido Godoi (Brésil)

- Publication du 18/05/2022 -

Cândido Godói est un petit bourg rural d’un peu moins de 7000 habitants. Ce petit village est situé dans le Sud du Brésil tout près de l’Argentine et du Paraguay. Il s’est bâti au 19ème siècle à l’arrivée de colons allemands. Aujourd’hui 80 % de la population est d’origine allemande. L'économie y est essentiellement agricole, avec le soja comme première ressource. Ce village est aujourd’hui connu sous le nom de « capitale des jumeaux » car il est célèbre pour son nombre de naissances gémellaires anormalement élevé. Alors que le pourcentage mondial de naissance gémellaire est de 1,25 % (soit une naissance sur quatre vingt), on en compte 15% dans ce village ! Si plusieurs hypothèses existent pour expliquer la chose aucune ne satisfait les scientifiques.

Brésil oblige, la première hypothèse c'est la "volonté de Dieu". Alors bien sur cette hypothèse n'a pas vraiment la côte chez les scientifiques.

L'autre hypothèse longtemps très populaire, c'est la qualité de l'eau. Certains ont postulé que l'eau de la source alimentant le village était dotée d'un élément favorisant les jumeaux. Depuis plusieurs décennies, il y a même tous les deux ans une grande fête de la fontaine magique. Alors le fait que cette fête amène pas mal d'argent au village a forcément conduit les locaux en beaucoup en parler mais le souci c'est que plusieurs études scientifiques ont été menées sans succès. Des analyses de l’eau ont été réalisées, sans que l’on ne trouve le moindre résultat surprenant. Aucun des minéraux présents dans l’eau de la fontaine n’a des propriétés particulières pour l’organisme.

L'hypothèse la plus appréciée des scientifiques, sans qu'elle ne fasse l'unanimité, c'est celle du Gène TP53. Une étude pointue dans le village a montré que les mères de jumeaux ont beaucoup plus l’allèle P72 au niveau de leur gène TP53, comparativement aux mères d’enfants seuls. Si l'hypothèse ne fait pas l'unanimité, c'est qu'il manque le pourquoi il y aurait cette grosse différence ici ! Car finalement, constater que les mères de jumeaux ont une particularité du gène TP53 ne fait que modifier l'énoncé de la question qui passe de "Pourquoi y a t'il autant de jumeaux dans ce village ?" à "Pourquoi y a t'il autant de femmes avec un gêne TP53 particulier dans ce village ?". Certains ont avancé que la zone étant assez isolée, il y avait peu de brassage, ce qui favoriserait le maintient des particularités. C'est sans doute vrai mais ça n'explique pas pourquoi il y a cette particularité au départ.

C'est là qu'intervient un intéressant vétérinaire du nom de Rudolf Weiss. Cet allemand arrive dans le village au début des années 1950. Rapidement il est connu pour avoir une méthode expérimentale pour les vaches ayant des problèmes de fertilité. La rumeur veut que le brave vétérinaire ait été un peu Docteur et se soit aussi occupé de certaines patientes... humaines. Après quelques années de bons et loyaux services, le vétérinaire semble avoir quitté la région du jour au lendemain (Sans avoir connu aucun problème local). Tous ceci resterait assez anecdotique sauf que, premièrement, l'anormalité du taux de naissances gémellaires semble vraiment débuter après guerre (certains objectent qu'avant il y a peu de traces de toute manière vu qu'on parle d'un village agricole très reculé). De plus, cette anomalie concerne aussi les bovins car à Cândido Godói les vaches font souvent des veaux par paire... Secondo, et c'est là que ça devient très intéressant, il y avait dans les années 40 en Allemagne un Docteur surnommé "der Weisse Engel ", l'Ange blanc. Ce docteur avait une passion pour le phénomène des jumeaux qu'il étudiait en détail. Nazi convaincu, il profita des camps pour mener ses expériences sans limite. Après guerre il disparut en Amérique du Sud. Son nom ? Mengele, Josef Mengele... Il est mort en 1979 au Brésil. Il fut identifié formellement, par son ADN, en 1985 et delà on pu établir qu'il avait toujours vécu dans une zone restreinte à cheval sur 3 frontières, une zone où l'on trouve Cândido Godói...

Deux détails pour finir. Hitler avait confié à Mengele la mission d'améliorer la fécondité des femmes ariennes. Quoi de mieux que de doubler le nombre de bébés ? Et, autre détail qu'on mettra sur le compte du hasard ou pas, une majorité écrasante des femmes présentant cette anomalie du gene TP53 sont des blondes... aux yeux bleus !

Les Fouilles du Temple par les futurs Templiers

- Publication du 23/01/2022 -

C'est le 23 janvier 1120, lors du concile de Naplouse, que naquit, sous l'impulsion d'Hugues de Payns et de Godefroy de Saint-Omer, la milice des Pauvres Chevaliers du Christ et du Temple de Salomon (en latin : pauperes commilitones Christi Templique Salomonici) : elle avait pour mission de sécuriser le voyage des pèlerins affluant d'Occident depuis la reconquête de Jérusalem, et de défendre les États latins d'Orient.

Pendant plusieurs années (1120-1126), cette petite communauté de 9 chevaliers (neuf !) reste très discrète. Ne disposant pas d'un effectif permettant de grandes choses, elle semble condamnée à l'anonymat comme bien d'autres groupes similaires. Et puis, en 1127, tout change. Reçue par le Pape et plusieurs Rois en Europe, la confrérie voit pleuvoir l'argent et commence à se lancer dans des constructions de place forte un peu partout. Elle sera bientôt l'ordre le plus riche d'Occident.    

De cette étrange chronologie découle l'hypothèse qu'ils ont trouvé quelque chose sous le Temple, quelque chose de grande valeur...

Les fouilles du Temple

Les Fouilles dans les sous sols du Temple sont attestées entre 1122 et 1127. Elles sont effectuées par les chevaliers et pas par des gens payés par les chevaliers, ce qui est un premier point à noter. Alors certes les chevaliers du Temple ne sont pas riches au début de leur histoire mais bon, le coût de quelques terrassiers locaux ne devait pas représenter le prix de quelques repas… Préféreriez vous creuser le sol pendant un mois ou sauter quelques repas et laisser d’autres creuser pour vous ? Il faut donc en déduire qu’il y avait dès le départ une volonté de discrétion.

Second point important et historiquement attesté, il y a eu deux tentatives, en 1120 et 1125, de demander un soutient aux royaumes d’Europe et au Pape pour assurer la défense du territoire chrétien d’orient (Demandes conduites par André de Montbard et par Gondemare). Ces deux tentatives furent infructueuse. On est en droit de se demander pourquoi celle de quelques Chevaliers inconnus en Europe va aboutir et surtout, pourquoi vont-ils être reçus par tous les puissants lors de leur voyage de 1127.

Troisième point à noter, qui est la conclusion du premier, il n’est plus fait mention de fouilles après le retour de voyage des Chevaliers.

Ces trois points mis bout à bout semblent indiquer avec pas mal de probabilités que les Chevaliers du Temple cherchaient quelque chose, qu’ils l’ont trouvé sous l’ancien Temple de Jérusalem et que ce quelque chose était suffisamment important pour leur ouvrir toutes les portes et leur assurer beaucoup d’appuis du jour au lendemain.

Alors certains pensent qu’ils ont cherché et trouvé l’Or du peuple de Salomon, un trésor qui aurait été caché à l’époque des révoltes contre les romains qui se conclurent pas la destruction du second Temple. Si l’existence d’un trésor caché sous le temple n’a rien d’idiot en soit, la suite des évènements ne parait pas cadrer. Il y a peu de chance que le trésor puisse rivaliser avec celui des puissants d’Europe ou du Pape, et même si c’était le cas, pourquoi vont-ils recevoir beaucoup de fonds de ces même puissants pour monter leurs premières commanderies ? Ils auraient agit directement. Certains rétorquent que c’était une volonté de discrétion. Peut être, mais pourquoi les puissants d’Europe font semblant alors de les financer ? En échange de quoi ? Sans compter que des pièces d’or anciennes en grande quantité, ça laisse des traces dès qu’on les écoule, même à l’époque !

La seconde grande hypothèse, la favorite des occultistes de salon et des amateurs de merveilleux, c’est qu’ils auraient trouvé rien moins que l’Arche d’Alliance. Pour beaucoup l’Arche d’Alliance est une sorte d’artefact magique doté de pouvoirs plus ou moins extraordinaires. Autant vous dire que si c’est ce type d’objet qui avait été découvert, il y a peu de chance que l’ensemble des puissants se soient mis à aider la confrérie. Un puissant l’aurait récupéré et les autres auraient été très mécontents…

Par contre si on envisage l’Arche d’Alliance comme un coffre contenant des documents, c’est une autre affaire. N’oublions pas que la véritable définition de l’Arche, c’est d’être le coffre qui, selon la Bible, contient les Tables de la Loi données à Moïse sur le mont Sinaï. Du coup ça n’est plus l’objet qui a de l’importance mais bien son contenu. Des documents peuvent-ils ouvrir autant de portes et apporter autant d’appuis ? Tout dépend de ce dont il est question. On sait bien que de tous temps, de riches collectionneurs ont payés fort cher des parchemins antiques mais dans le cas présent, ça dépasse et de loin la seule transaction monétaire. Si le Vatican veux acheter un objet que vous avez trouvé, il y a quand même très peu de chance que ce soit le Pape en personne qui gère la transaction ! Sauf si..

Sauf si la nature des documents est d’une nature vitale pour l’église. Il ne faut surtout pas oublier que l’église catholique romaine est une branche majeure de la chrétienté et que la chrétienté dans son ensemble repose sur des textes expliquant que Jésus Christ était le messie envoyé par Dieu pour aider les hommes aux environs de l’an zéro. Or le second temple a été rasé en 70 après J.-C. par les romains. Il peut donc parfaitement avoir abrité des documents qui mettraient à mal toute la version de l’histoire sur laquelle repose la Chrétienté. Qui disposerait de ces documents serait en mesure de négocier très fermement avec l’Église de Rome bien sur, mais aussi avec les principaux Rois d’occidents car la plupart d’entre eux faisait reposer leur statut sur une relation privilégiée avec Dieu. Ces puissants n’auraient dès lors d’autres options que d’accepter vos demandes, du moins jusqu’à ce qu’ils trouvent, ensemble, un moyen de vous faire tomber… Ce qui se produira en 1307.

Cette affaire n’est pas sans rappeler, toute proportion gardé, celle de Rennes le Château ou l’Abée Saunière va disposer, après avoir effectué des fouilles, de larges moyens financiers que personne n’a su à ce jour expliquer et d’entrevues avec de très haut membres de l’Église alors qu’il n’était qu’un petit Abée d’un village perdu du Sud Ouest...

Gornaya Shoria (Russie)

- Publication du 23/01/2023 -

Dans le sud de la Sibérie se trouve un site malheureusement très éloigné des moyens modernes de communication, ce qui permet son relatif anonymat en dehors du petit milieu de la recherche archéologique alternative. Il s'agit des ruines mégalithiques de Gornaya Shoria, un immense site de 15 Km de circonférence découvert en 1991 par le géologue Vyacheslav Pochetyokin et dont seulement 1 % a été exploré (La forêt sibérienne est une des pires au monde).

Vyacheslav Pochetyokin a découvert le site depuis un hélicoptère au cours d'une mission d'exploration géologique mais c'est un autre chercheur, Georgy Sidorov, qui a atteint pour la première fois les ruines à pied. Depuis de nombreuses autres personnes ont pu accéder au site, prendre des photos , filmer avec des drones donc on ne parle pas ici d'un site "fantasmé" par un explorateur pas fichu d'y retourner et qu'on doit croire sur parole mais bien d'un lieu véritable. C'est important de le préciser vu ce qui va suivre...

La ruine majeure est un énorme mur de 40 à 50 mètres de haut composé de blocs rectangulaires de pierres de tailles extraordinaires. Mais toutes les ruines du sites sont cyclopéennes ! Les plus gros monolithes sont estimés à 4000 tonnes, ce qui surpasse très largement la plus grande pierre taillée reconnue officiellement, celle de Baalbeck avec ses 1500 tonnes. Noter que déjà, tailler une pierre de 1500 tonnes n'est pas "rien", 1500 tonnes, c'est le poids de 1000 berlines automobiles moyen de gamme concassée ensemble ! Oui MILLE voitures ! Et on voudrait nous faire admettre que des gens ne disposant que de la force brute pouvaient déplacer et construire avec de telles masses...

Par endroit le rempart est brisé et les vues aériennes donnent réellement l'impression qu'il a été heurté avec violence car les pierres ne sont pas tombées au sol simplement par l'effet de la gravité. Des blocs de plusieurs tonnes ont été littéralement éjectés parfois à plusieurs centaines de mètres et tous dans la même direction ! D'autre part dans ces zones effondrées on trouve des blocs de pierres qui ont tout l'air d'avoir fondu avant de se recristaliser !

Comme pour les ruines des pyramides précolombiennes ou chinoise, la présence de la végétation à suffit à faire dire aux "officiels" à partir de quelques photos d'ensemble que c'était une simple curiosité géologique naturelle. Pourtant en regardant les photos prises de manières beaucoup plus précises on distingue parfaitement un nombre toujours croissant d'aomalies qui rendent la probalilité d'avoir affaire à un site naturel très faible. Il y a pourtant des blocs parfaitement rectilignes ou des blocs accolés qui ne sont pas homogènes (donc ça n’est pas un bloc qui s’est naturellement fissuré en deux mais deux pierres différentes taillées pour s'ajuster parfaitement). Il y a aussi des surfaces planes et des symétries de forme difficilement envisageable par pur hasard naturel comme des dalles rocheuses angulaires, parallèles et semblables. Mais le plus convainquant est la présence de tunnels angulaires accessibles composé de pierres monolithiques !

Et cette cité n'est pas un cas unique, il y a plusieurs autres sites mégalitiques dans la région, des sites déjà connus aux 12ème siècles puisqu'ils figurent sur des cartes de marchands arabes sous le terme "Bilad al-Kharab" qui veux dire "les territoires dévastés"... C'esu une nouvelle pierre (de belle taille) dans l'édifice qui conduit à imaginer qu'une catastrophe planétaire à pu détruire une civilisation mondiale et ne laissant après elle que des ruines et le mythe du déluge qu'on retrouve dans la majorité des cultures sous une forme ou une autre.